Descripción
Photographie,CDV, Vintage albumen Carte de Visite, Marie-Lætitia Bonaparte-Wyse Marie de Solms Description de cette image, également commentée ci-après Par Carlo Garacci vers1858 Nom de naissanceMarie-Lætitia Bonaparte-Wyse Naissance25 avril 1831 Waterford, (Irlande) Décès6 février 1902 Paris, (France) Pays de résidenceFrance France Profession Écrivaine, journaliste, Poète Famille Famille Bonaparte Marie-Lætitia Bonaparte-Wyse, dite Marie de Solms née à Waterford, (Irlande) le 25 avril 1831, décédée à Paris le 6 février 1902 (à 70 ans), est une femme de lettres, poètesse, fondatrice de plusieurs revues, journaliste empruntant plusieurs pseudonymes comme « Le baron de Stock » ou « Bernard Camille »1. Elle est aussi surnommée "La Muse des Alpes". Sommaire [masquer] 1Famille 2Biographie 3Anecdotes 4Hommage 5?uvres 6Bibliographie 7Liens externes 8Références Famille[modifier | modifier le code] Fille de la princesse Lætitia Bonaparte (1804-1871), s?ur de Lucien Napoléon Bonaparte-Wyse promoteur du canal de Panama2. Bien que sa mère se soit mariée au politicien irlandais Sir Thomas Wyse, ils s'étaient séparés des années plus tôt et son vrai père était un officier de l'armée britannique, le Captain Studholm John Hodgson3. Elle est la petite-nièce de Napoléon Ier et la petite-fille de Lucien Bonaparte et d'Alexandrine de Bleschamp. Le poète irlandais William Charles Bonaparte-Wyse était son demi-frère. Biographie[modifier | modifier le code] Urbano Rattazzi En décembre 1848 elle épouse sur un coup de tête, pour résister à sa mère le comte Frédéric Joseph de Solms (1815-1863). En 1850, jeune et coquette, elle rêve de poésie. À Paris, elle tient un salon fréquenté par Victor Hugo, Gérard de Nerval, François Ponsard, Sainte-Beuve, Alexandre Dumas, George Sand et Eugène Sue. Vers 1852 elle est interdite de séjour à Paris par la police de Napoléon III qui la soupçonne de complot et d'espionnage et s'exile en Savoie, à Aix-les-Bains où elle met toute son énergie et réussit à faire vivre son salon au chalet de Solms, chalet où elle va habiter de 1853 à 1863. Entre 1853 et 1857, elle entretient une relation forte et scandaleuse avec Eugène Sue, son aîné de 28 ans, qui vient souvent lui rendre visite depuis son exil d'Annecy-le-Vieux. En 1854 elle fait construire le premier véritable théâtre d'Aix-les-Bains, dans ce théâtre dont elle est la directrice et l'animatrice, elle fit jouer des pièces de Marivaux, d'Alfred de Musset, d'Alexandre Dumas, de François Ponsard, d'Octave Feuillet puis des comédies de sa composition, elle recevra la visite du célèbre violoniste Van der Heyden et de Feydeau en 1859, son talent la pousse en 1858 à créer une revue littéraire et artistique "Les Matinées d'Aix-les-Bains" complétée en 1863 par le "journal du Chalet", elle y commente la vie littéraire française ainsi que les activités de la station. Elle se remarie le 3 février 1863 à Turin avec Urbano Rattazzi, premier ministre du Royaume d'Italie, 15 jours après l'enterrement de son premier mari et vit désormais à Turin, revenant régulièrement à Aix-les-Bains pour ses vacances. Veuve pour la seconde fois en 1873, elle épouse en troisièmes noces Don Luis de Rute y Ginez (1844-1889), sous-secrétaire d'état et maire de Cortes (Navarre) en Espagne, qui meurt en 1889. Femme de lettres, fondatrice de revues, et journaliste, elle utilise plusieurs pseudonymes comme « Le baron de Stock » ou « Bernard Camille »4. Elle est comparée par certains à Germaine de Staël5. Elle fonde « Les matinées d'Aix-les-Bains », revue qui lui sert à publier ses poèmes, et qui serviront à organiser des salons de lecture dans ses appartements, en présence d'écrivains et d'artistes savoyards. Elle vendit le chalet de Solms en 1894, à Marius Sammarcelli, propriétaire du casino de la Villa des Fleurs d'Aix-les-Bains Elle meurt à Paris en 1902. Elle a souhaité être enterrée à Aix-les-Bains, ville qui l'avait bien accueillie pendant son exil, elle repose aux côtés de sa fille morte à 3 ans dans la. N° de ref. del artículo PD2395
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