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    Couverture souple. Condición: Comme neuf. 2ème Édition. Lille 2010. 1 Volume/1. -- Comme Neuf -- Broché collé. Format in-8°( 24 x 16 cm )( 1035 gr ). ------- 609 pages avec 4 illustrations couleurs ( p 25, 150,331,504 ) et 3 cartes .***************************** '' War is a cultural phenomenon whose only redundant character is violence: its representation is a strong disclosure of human nature. Wars and battles exist only through their accounts. Omnipresent in medieval primary sources regarding England, they were perceived as fundamental elements of life by their contemporaries. While complying with specific stylistic requirements, the chronicles' narrative framework from the late 13th to the 15th century stands out as a coalescence of feats of arms, ethos or cultural ascendancy, martial knowledge and personal opinions. The peculiarity of the reporting of war in the Middle Ages relies on this symbiosis. Its representations stress the importance of those who fight: they are able to stimulate the collective memory or fascinate by the use of ideology or example, and follow a defined path. Nevertheless, this vision of war isn't necessarily precise nor unanimous. Skill and variable recourse to narrative impressionism create a relation dominated by human limits. A brutal clash of arms, which is part of the order of the world, defines battle and is sometimes used to represent annihilation. However, ambivalence towards warlike behaviors, rather than organized criticism, balances the idea of a monolithic martial mentality during the Middle Ages. Chronicles are indeed mainly full of praises when reporting feats of arms and powess. They construct a selective and mastered sequence of action based on a selective timescale, but they remain sensitive to a traumatism acquired by experience or fantasy. These representations also benefit from strong religious and literary references. A reflection on war and its violence ensues, acknowledging or proscribing their punctual practice. The account of violent action, despite its overall epic tone, finds its unity in these ambivalent arguments, rather than in a synoptic and commonplace tale of warlike and chivalric behaviors.

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    Couverture souple. Condición: Comme neuf. 2ème Édition. Lille 1999. 1 Volume/1. -- Comme Neuf -- Broché collé. Format in-8°. ------- 634 pages. *************************** '' La guerre est un phénomène culturel dont le seul caractère redondant est la violence : sa représentation demeure une force de dévoilement de la nature humaine, un objet nécessaire de l Histoire. Guerres et batailles n existent cependant que par leur récit. Omniprésentes dans les sources médiévales concernant l Angleterre, elles sont perçues comme des composantes fondamentales de la vie par leurs contemporains. La trame narrative des chroniques du 13e au 15e siècle marque ainsi la fusion du fait d armes, d un ethos ou d un ascendant culturel, de connaissances martiales et d opinions personnelles, se pliant à des effets de style spécifiques. Cette symbiose fait toute la singularité du récit martial des chroniques. De 1296 à 1485, alors que sept souverains d Angleterre trouvent la mort dans des circonstances souvent liées à la guerre ou à la guerre civile, plus de 35 récits de heurts armés, dont les célèbres batailles de Falkirk, Bannockburn, Neville s Cross, Shrewsbury, Towton, Barnet ou encore Bosworth, marquent leurs narrations. L étude de ces batailles révèle une écriture du conflit animée par un fort système de représentations qui accorde une importance primordiale à ceux qui combattent : capables de raviver la mémoire collective ou de stimuler une fascination par l idéologie ou l exemple, ils suivent un parcours défini. Cette vision de la guerre n est pourtant ni nécessairement précise, ni unanime. Talent et recours variable à un impressionnisme narratif fondent un récit dominé par les limites humaines. Un choc d armes brutal faisant part d un ordre naturel du monde définit la bataille, orientée parfois vers une mise en scène de l anéantissement. Pourtant, une ambivalence face au fait guerrier, à défaut d une critique organisée, pondère l idée d une mentalité martiale monolithique au Moyen Age. Les chroniques sont donc laudatives, rendant compte de séquences événementielles maîtrisées, sélectionnées, replacées dans le temps mais sensibles à un traumatisme acquis par expérience ou par fantasme. Batailles et exercice d une justice liée à la guerre font donc figures d actes déterminés et idéalisés, mais influencés par un quotidien fonctionnel et sensible de la guerre. Leurs représentations profitent aussi de forts référents littéraires et religieux. Une réflexion sur la guerre et sa violence en découle, qui cautionne ou prescrit une pratique ponctuelle de celles-ci. Le traitement de l action et de sa violence, certes épique, trouve en définitive son unité dans les dissonances et les ambivalences qu il rapporte, bien plus que par une banalisation synoptique des comportements guerriers. '' *********************************.