Descripción
Photographie,vintage cdv albumen print - Archives Disdéri, Fonds Levert. Louise Marie Amélie FAIVRE dite Amélie FAIVRE, mezzo-soprano français, (Paris, 04 février 1837 ? Paris 17e, 17 novembre 1897*). Fille de François Théodore FAIVRE (? av. 1864) et de Julie Coralie BOILOT (? ap. 1864). S?ur de Marie FAIVRE, cantatrice. Epouse à Paris 10e le 30 juin 1864* Charles RÉTY, ancien directeur du Théâtre-Lyrique. Parents de Marie Madeleine Emilie RÉTY dite Bernerette GANDREY (Paris 10e, 12 octobre 1868* ?), cantatrice [épouse à Paris 10e le 09 février 1889* Aristide Jean Baptiste GANDREY (Chalon-sur-Saône, Saône-et-Loire, 09 décembre 1848* ? 1930), administrateur de l'Opéra-Comique]. Au Conservatoire de Paris, elle obtint en 1857 un troisième accessit de chant et un second prix d'opéra-comique. Elle fit carrière au Théâtre-Lyrique, mais parallèlement, elle créa à Bade : le 15 juillet 1858 le Moulin du roi d'Adrien Boieldieu ; le 03 août 1860 la Colombe (Mazet) de Charles Gounod ; le 31 juillet 1861 Deux amours de Gevaert ; le 21 août 1862 Erostrate (Rhodina) d'Ernest Reyer ; le 27 juillet 1863 la Fille de l'orfèvre d'Edmond Membrée. Par ailleurs, elle a chanté le 16 novembre 1863 à la première à la Monnaie de Bruxelles d'Oberon ou le Cor magique (Fatima) de Weber [version française de Nuitter, Beaumont et Chazot]. Elle créa encore, en mars 1859 en concert, la Mort de Socrate d'Edmond Hocmelle ; en février 1862 à Paris, le Valet-poète de Raoul de Lostanges ; en mai 1873, au Cercle artistique et littéraire de Bruxelles (sous le nom de Mme Réty-Faivre), le Tricorne enchanté de Léon Jouret. Avant son mariage, elle habitait 21 place Roubaix à Paris. En 1895, elle habitait 21 rue de Dunkerque à Paris 10e. Elle est décédée en son domicile au 97 rue de Courcelles à Paris 17e. // Circa 1860 // CDV, tirage albuminé, 6 x 10.5 cm, vintage albumen print // Format (cm): 6,5x10,5. N° de ref. del artículo PG1462
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