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  • Imagen del vendedor de Le Sillon. - 4° Année (2° série) - N° 8 - 25 Octobre 1905. a la venta por PRISCA

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    Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 281 à 320 - Articles originaux : Une expérience. - Un problème nettement posé. - Au Lycée. - Pour les Cercles d'études ruraux. - Ce qui diminue les hommes. - Le Centre allemand est-il un parti catholique ? - La vie du Sillon : Les Vraies Idées du Sillon. - Une Lettre de Mgr l'Évêque de Marseille. - Le prochain Congrès national. - Un Restaurant coopératif. - Le Congrès de Marvejols. - En province. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même.

  • Imagen del vendedor de Le Sillon - 5° Année - N° 9 - 10 Mai 1906. a la venta por PRISCA

    Léonard Constant, P. A., Maurice Gaucheron, Georges Renard, Claude Sauvageot, Jean Lefort, Pierre Fabre, Jean Valmont.

    Publicado por Paris, 1906

    Librería: PRISCA, Paris, Francia

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    Original o primera edición

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    Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 321 à 360 - Articles originaux : L'insuffisance de la lutte de classes. - Une institution surannée. - Parabole. - Démocratie et libre-pensée. - Une leçon de l'histoire. - M'échec de la monarchie. - La vie du Sillon : L'Éveil démocratique et les Sillons de province. - Obscur labeur, travail fécond. - Hors de France. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

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    Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 81 à 120 - Articles originaux : La valeur des oeuvres. - En vacances. - Un précurseur : de Tocqueville. - Sommes-nous des révolutionnaires ? - La démocratie devant la "Science sociale". - Au Lycée. - Le Congrès de Paris. - La vie du Sillon : Le Sillon à Paris. - Une réunion publique à Gréasque. - Lettre d'Orléans. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.