Tipo de artículo
Condición
Encuadernación
Más atributos
Ubicación del vendedor
Valoración de los vendedores
Publicado por Rhein-Verlag, 1945
Librería: Arundel Books, Seattle, WA, Estados Unidos de America
Miembro de asociación: CBA
Original o primera edición
Hardcover. Condición: Near Fine. No Jacket. First Edition. 8vo - over 7¾" - 9¾" Near fine copy in original tan cloth (several tiny spots tocloth). No jacket.Frontis Portrait.
Publicado por Self-Published [1940], 1940
Librería: North Country Books, Milton, VT, Estados Unidos de America
Hardcover. Condición: Good Plus. Original issue. Rare student edition from mimeographed sheets. Gray cloth backed over gray paper over stiff boards, some light wear and fading o/w clean; well bound; text also clean and unmarked with some creasing to first few leaves, limited. Text in German, multigraphed on recto side only, 51 pages. Inquires welcome. Extra shiping fees for international orders (because of book size).
Publicado por Self-Published [1941], 1941
Librería: North Country Books, Milton, VT, Estados Unidos de America
Hardcover. Condición: Good Plus or bewtter. Original issue. Gray cloth backed over gray paper over stiff boards, some light wear and fading o/w clean; well bound. Scattered foxing including the text block edges, limited. Text in German, multigraphed on recto side only, 182 pages. Inquires welcome. Extra shipping for international order becasue of book size. Ships domestic media only.
Publicado por Zürich, Rhein, 1949
Librería: antiquariat peter petrej - Bibliopolium AG, Zürich, ZH, Suiza
8°, 348 S., 9 Taf., 9 Textabb., OLwd. m. OU, Tadellos. (= Eranos-Jahrbuch 1948, Bd. 16). Vorträge gehalten auf der Eranos-Tagung in Ascona 1948, u. a. v. Hugo Rahner, K. Kerényi, C. G. Jung («Über das Selbst»), Adolf Portmann 900 gr. Schlagworte: Psychologie.
Publicado por Ascona, 1940
Librería: LIBRAIRIE PIMLICO, MELUN, Francia
Original o primera edición
Couverture rigide. Condición: Très bon. Edition originale. Édition originale. Édition étudiante rare à partir de feuilles miméographiées. Tissu gris soutenu sur du papier gris sur des planches rigides, Texte en allemand, multigraphié recto uniquement, 51 pages. - - - - - - - - - Rare student edition from mimeographed sheets. Text in German, multigraphed on recto side only, 51 pages - - - - - Il s'agit de l'exemplaire personnel de Roland Cahen qui supervisa toutes les traductions de Jung en France et fut son introducteur inlassable. Nous donnons ici les extraits d'un entretien donné par Cahen à Paris en 1991 : (Entretien avec Roland Cahen réalisé à Paris en juin 1991) : A vous entendre évoquer ce monde difficile et pesant, je me demandais quelles étaient les raisons qui vous avaient conduit a devenir psychiatre ? - En me tournant vers la psychiatrie j'ai rencontré l'oeuvre de Freud, celle de Jung, et la personnalité de Jung. C'était en 1936. Je préparais à l'époque un diplôme, avant l'agrégation d'allemand, sur Nietzsche et sa maladie. A la bibliothèque d'Innsbruck j'étais plongé dans les livres des maladies mentales en l'honneur à l'époque, en particulier un traité de monsieur Bumke, professeur à Berlin. Une collègue passe et me dit : « Mais tu es fou ! Qu'est-ce que tu fais, toi philologue, là-dedans ? ». J'avais l'oeil dans les schémas de l'anatomie du système nerveux et de ses maladies. Je lui réponds : « Je prépare à la Sorbonne un mémoire sur Nietzsche et sa maladie ». Certes, cela avait été une folie que de donner un sujet pareil à un jeune étudiant ! D'autant plus lorsqu'on sait que le grand Jasper y a consacré, trente ans plus tard, un énorme et magistral ouvrage. Il est bien évident qu'un élève de vingt-trois ans n'avait ni la maturité ni la science nécessaires pour traiter d'un pareil sujet ! Ce fut le tournant de mon orientation. Philologue, mais d'un tempérament plutôt actif, quand j'ai rencontré une phénoménologie et une philosophie actives, agissantes, positives bienfaisantes et riches de toutes les promesses de la psychanalyse, j'ai choisi l'aventure et l'action. J'ai vite compris que je devais être médecin. En France, à cette époque, 1936-1938, seuls les médecins abordaient ce domaine. Ainsi, ai-je rencontré le professeur Pierre Janet que j'accompagnais - il avait quatre vingt cinq ans - un dimanche matin de Sainte-Anne au métro. Il marchait de son petit pas vif en disant : « Mon cher collègue, est-ce que je ne vais pas trop vite ? ». Puis il m'a reçu chez lui. Je suis allé voir également Allendy. Il me dit : « Jeune homme, vous ne savez pas dans quel domaine vous mettez les pied ! Finissez donc votre agrégation, nous verrons le reste ensuite ! ».