FABRE GEORGES (190 resultados)

Condición: Good. Former library book; may include library markings. Used book that is in clean, average condition without any missing pages.

Revue mensuelle, 1949. Format 15x23 cm, broche, 125 pages. Tres bon etat.

Revue mensuelle, 1958. Format 15x23 cm, broche, 128 pages. Bon etat.

Envoi rapide Bon état tranche de tête ternie avec hommage de l'auteur. 14x22x3cm. 1979. Broché. Bon état.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 385 à 576 - Articles originaux : La Défaite de Reinchenfels. - L'École des Filles (IV). - Les Bogues. - Le Dormeur (fin). - Un Nouveau Satellite. - tu ne tueras point.

Couverture souple. Condición: Comme neuf. In-4 broché. SOMMAIRE : - Lion, sa cage et ses ailes Auteur : BASSAN Raphaël - USA La Cinémathèque américaine idéale Auteur : BEYLIE Claude - Allemagne Nouveau cinéma allemand Auteur : BASSAN Raphaël - MEYERHOLD Vsevolod Les films perdus de Meyerhold Auteur : BENEDETTI Carlo - Japon Japon : printemps tardif Auteur : TESSIER Max - Locarno 1978 (festival) Auteur : TESSIER Max - Exploitation Le cinéma à la Réunion Auteur : BOISSIER Georges - GODARD Jean-Luc Pour en finir avec Jean-Luc Godard Auteur : BEYLIE Claude - DENEUVE Catherine Catherine Deneuve ou Le triomphe de l'ambiguïté Auteur : ALION Yves - DENEUVE Catherine (entretien) Auteur : ALION Yves - WENDERS Wim Il y a encore des paysages en Allemagne (article d'ensemble) Auteur : ISHAGPOUR Youssef - Angoisse du gardien de but au moment du penalty Auteur : BASSAN Raphaël - WENDERS Wim (filmographie) Auteur : BASSAN Raphaël - Fantômas Le "Fantômas" de Louis Feuillade (article d'ensemble) Auteur : CHAMPREUX Jacques - Cinéma fantastique Fantômas : filmographie - Homme de marbre Auteur : MARTIN Marcel - WAJDA Andrzej à propos de : Homme de marbre (entretien) Auteur : MARTIN Marcel - F.I.S.T. Auteur : CÈBE Gilles - Grand frisson Auteur : CÈBE Gilles - Tortue sur le dos Auteur : LANGLOIS Gérard - BÉRAUD Luc à propos de : Tortue sur le dos (entretien) Auteur : MARTIN Marcel - Scenic route Auteur : BASSAN Raphaël - DARC Mireille (filmographie) - DENNER Charles (filmographie) - MATTHAU Walter (filmographie) - CONNERY Sean (filmographie) - FEUILLÈRE Edwige (filmographie) - CHAPLIN Géraldine (filmographie) - HACKMAN Gene (filmographie) - ANDERSSON Bibi (filmographie) - AUCLAIR Michel (filmographie) - ROQUEVERT Noël (filmographie) - Tous les films sortis à Paris du 15 août au 15 septembre 1978 Auteurs : MORET Henry , SOREL Stéphane , TESSIER Max - Cri de femmes (brève) - Convoi (brève) - Continent fantastique (brève) - Cette salope d'Amanda (brève) - Bête tue de sang froid (brève) - Ah ! que c'est bon (brève) - Tous les films sortis à Paris du 15 août au 15 septembre 1978 Auteurs : GELÉ Claude , KAMENKA Patrick , LANGLOIS Gérard , MATHIS Paul Hervé - Tous les films sortis à Paris du 15 août au 15 septembre 1978 Auteurs : ALION Yves , BASSAN Raphaël , CÈBE Gilles , FABRE Pierre-Antoine - Malédiction 2 (brève) - Dialogue de feu (brève) - Dieu merci c'est vendredi (brève) - Grease (brève) - Grimpe-moi dessus et fais-moi mal (brève) - Guerriers de l'enfer (brève) - Dragues (brève) - Gladiateurs de l'an 3000 (brève) - Grande levrette (brève) - Excès pornographiques (brève) - Hard sexe et pornos parties (brève) - Inévitable catastrophe (brève) - Je suis timide, mais je me soigne (brève) - Jeu de la mort (brève) - Mercredi après-midi (brève) - Midnight express (brève) - Mélodie pour un tueur (brève) - Mains dans les poches (brève) - Love part house 2 (brève) - Jeux de minettes (brève) - Mon premier amour (brève) - Naufragés de l'île perdue (brève) - Ordre et la sécurité du monde (brève) - Tout pour jouir (brève) - P.D.G. a des ratés (brève) - Sourire aux larmes (brève) - Sophie, petite fille perverse (brève) - 69 pénétrations de Marika (brève) - Prisonnière du vice (brève) - Prends-moi de force (brève) - Petite fille en velours bleu (brève) - Raffinements érotiques (brève) - Viol sous les tropiques (brève) - Vestiaire des filles (brève) - Garçon parmi d'autres (brève) - Candidat au poil (brève) - Turbulentes filles volages (brève) - Trocadero bleu citron (brève) - Triangle de Vénus (brève) - Cinéma militant Cinémarge à la Rochelle - TORRE NILSSON Leopoldo (nécrologie) Auteur : TESSIER Max - BOYER Charles (nécrologie) Auteur : BEYLIE Claude - BOUQUET Jean-Louis (nécrologie) - SHAW Robert (nécrologie) - GERT Valeska (filmographie) - WARNER Jack (nécrologie) - GARMES Lee (nécrologie) - MARETSKAYA Vera (nécrologie) Auteur : MARTIN Marcel.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 281 à 320 - Articles originaux : Une expérience. - Un problème nettement posé. - Au Lycée. - Pour les Cercles d'études ruraux. - Ce qui diminue les hommes. - Le Centre allemand est-il un parti catholique ? - La vie du Sillon : Les Vraies Idées du Sillon. - Une Lettre de Mgr l'Évêque de Marseille. - Le prochain Congrès national. - Un Restaurant coopératif. - Le Congrès de Marvejols. - En province. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 161 à 200 - Articles originaux : Métier de roi, métier de citoyen. - Comment on vient au Sillon. - A propos du Congrès de Strasbourg. - La vie intellectuelle du Sillon. - Pour les Cercles d'études ruraux. - La force d'une élite (Extrait des oeuvres de Newman). - La vie du Sillon : Une réunion publique à Morlaix. - Dans l'Ile d'Oléron. - Dans la région parisienne. - Le Congrès de Rochechouart. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repri.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 41 à 80 - Articles originaux : Le Sillon est-il un mouvement personnel ? - Vie fraternelle. - "Par la Mort" (A propos d'une Première). - Confusions à dissiper. - Le Sillon et la Politique. - Contre le Parti Catholique. - Dans l'attente et le silence. - Le vie du Sillon : Le Congrès de Nancy ; Le Sillon de Dunkerque ; La "Maison du Sillon" à Châtenay. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, 40 pages - Articles originaux : Notre tâche. - Points de vue économiques ("Maison X*** frères). - La fonction royale. - Sur un projet de paix sociale. - Ivanowitch. - Les catholiques et le pacifisme. (deux lettres) - Le socialisme et le sens démocratique. - Dans un monastère. - La vie du Sillon. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 441 à 480 - Articles originaux : Des hommes nouveaux. Qui fera la démocratie ? (Une affiche du Sillon). - Le rôle de Lacordaire. - Le respect de l'immoralité. - Souvenirs de Port-Royal. - Le terrianisme et le paupérisme. - La vie du Sillon : Le Sillon et les partis ; Travail intérieur. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 161 à 200 - Articles originaux : Après le Congrès. - La réunion des journalistes. - Le Congrès des Cercles d'études et des Instituts populaires : Séance d'Ouverture ; Les Coopératives ; La Mese du Congrès ; La Réunion Publique ; Le Banquet. - Enseignement social populaire (Les conférences sur la Démocratie ; 1° conférence : L'évolution démocratique. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 321 à 360 - Articles originaux : Un anniversaire. - Les troubles révolutionnaires de Limoges. - Une dangereuse ignorance (Extrait du journal). - M. Wells, prophète. - Notre souscription. - Le vie du Sillon : La Correspondance sociale du Sillon ; Le Sillon : Esprit et Méthodes ; Le Congrès de Saint-Brieuc ; A travers la France. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 201 à 240 - Articles originaux : Une idole. - Opposés mais semblables. - Syndicalisme et coopération : Deux opinions. - Enseignement social populaire : Les conférences de Marc Sangnier sur la Démocratie. - L'oeuvre urgente. - La vie du Sillon : Précieux encouragements de Rome. - Mouvement homogène, mouvement conquérant. - Une controverse entre Jules Guesde et Marc Sangnier. - Le Sillon à Genève. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même rep.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 321 à 360 - Articles originaux : Pour faire la démocratie. - Allocution de M. l'abbé Odelin au Congrès du Sillon à Paris. - Le rôle des oeuvres sociales dans l'action du Sillon. - "L'Éveil démocratique". - Un Restaurant coopératif. - La vie du Sillon : Conférences religieuses. - Le Congrès de Paris. - A propos d'une conférence sur le socialisme. - Le Sillon à Fontainebleau. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le.

Couverture souple. Condición: Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 321 à 360 - Articles originaux : L'insuffisance de la lutte de classes. - Une institution surannée. - Parabole. - Démocratie et libre-pensée. - Une leçon de l'histoire. - M'échec de la monarchie. - La vie du Sillon : L'Éveil démocratique et les Sillons de province. - Obscur labeur, travail fécond. - Hors de France. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Condición: Bon. IN-8 broché, 162 pages. Sommaire : Denis de Rougemont: Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française., Pages 801-801 --- Denis de Rougemont: Henri Lefebvre nous donne une position générale de la question., Pages 802-802 --- Henri Lefebvre: Du culte de l'Esprit au matérialisme dialectique, Pages 802-805 --- Denis de Rougemont: L'auteur d'Aden, Arabie et des Chiens de garde précise le réquisitoire., Pages 806-806 --- Paul Nizan: Les conséquences du refus, Pages 806-811 --- Denis de Rougemont: Parlant au nom des groupes Plans, Philippe Lamour résume le programme., Pages 812-812 --- Philippe Lamour: La Révolution et la jeunesse, Pages 812-814 --- Denis de Rougemont: D'un récent voyage en U. R. S. S. Jean Sylveire rapporte la conviction., Pages 815-815 --- Jean Sylveire: Un, Pages 815-816 --- Denis de Rougemont: Il est curieux de noter la rencontre, dans leur critique du désordre règnant., Pages 817-817 --- Thierry Maulnier: Révolution totale, Pages 817-820 --- Denis de Rougemont: Voici donc exprimée la revendication du spirituel sur le plan révolutionnaire., Pages 821-821 --- Claude Chevalley, Arnaud Dandieu: L'intelligence épée, Pages 821-823 --- Denis de Rougemont: Le directeur de la revue Esprit, organe d'un groupe déjà nombreux et organisé., Pages 824-824 --- Emmanuel Mounier: Ce ne sont pas ceux qui disent : Esprit, esprit., Pages 824-826 --- Denis de Rougemont: Cet homme "situé" ne peut être l'individu isolé (libéral), ni l'homme réduit., Pages 827-827 --- Georges Izard: Un instinct sec et rude, Pages 827-830 --- Denis de Rougemont: Mais il ne faut pas que la personne "pourrisse dans l'humus provincial"., Pages 831-831 --- René Dupuis, Alexandre Marc: De la patrie au fédéraliste révolutionnaire, Pages 831-833 --- Denis de Rougemont: Robert Aron indique enfin les directions tactiques, politiques et économiques., Pages 834-834 --- Robert Aron: Questions posées, Pages 834-837 --- Denis de Rougemont: Les tendances ici exprimées par les membres des groupes non-marxistes., Pages 838-838 --- Denis de Rougemont: À prendre ou à tuer, Pages 838-845 --- Francis Ponge: Végétation, Pages 846-847 --- E.-C. Fabre: Cage, Pages 848-853 --- Jean Giraudoux: Choderlos de Laclos, Pages 854-870 --- Henri Michaux: Un barbare en Chine, Pages 871-878 --- Charles-Ferdinand Ramuz: Adam et Ève (II), Pages 879-910 --- Alain: Propos, Pages 911-912 --- Albert Thibaudet: En lisant les Mémoires d'un touriste, Pages 913-917 --- Boris de Schloezer: Léon Chestov, Pages 918-923 --- Ramon Fernandez: Tel qu'en lui-même, par Georges Duhamel (Mercure de France), Pages 924-925 --- Jean Grenier: Tite-le-Long, par Marcel Jouhandeau (Éditions de la N. R. F.), Pages 925-926 --- Jean Schlumberger: Rachel, par Jean Prévost (Éditions de la N. R. F.), Pages 927-929 --- Denis Saurat: Les Bien Aimées, par Jérôme et Jean Tharaud (Plon), Pages 929-933 --- Julien Lanoë: Le Pari, Pages 933-935 --- Eugène Dabit: Voyage au bout de la nuit, par Louis-Ferdinand Céline (Denoël et Steele), Pages 935-937 --- Julien Lanoë: Les Loups, par Guy Mazeline (Éditions de la N. R. F.), Pages 937-939 --- Jean Prévost: La maison du docteur Clifton, par Jean Mistler (Émile-Paul), Pages 939-940 --- Alexandre Vialatte: Le Temps Vert, par Josette Clotis (Éditions de la N. R. F.), Pages 940-943 --- Jean Grenier: Solitude de la pitié, par Jean Giono (Éditions de la N. R. F.), Pages 943-944 --- Félix Bertaux: Hommage à Gerhart Hauptmann pour son 70e anniversaire, Pages 944-947 --- Benjamin Crémieux: Christine, de Paul Géraldy (Comédie-Française), Pages 948-949 --- Benjamin Crémieux: Lanceurs de graines, de Jean Giono (Théâtre de l'Atelier), Pages 949-950 --- Boris de Schloezer: Un Jardin sur l'Oronte, de Maurice Barrès (Opéra), Pages 950-951 --- Henri Pourrat: Parti de Liverpool, par Édouard Peisson (Grasset), Pages 951-952 --- Henri Pourrat: Les Rats, par René Blech (Gallimard), Pages 952-952.

Couverture souple. Condición: Bon. IN-8 broché, 128 pages. Sommaire : Louis de Broglie: Le Secret de la Lumière, Pages 513-527 --- Jacques Audiberti: L'Homme et la Maison, Pages 528-536 --- Pierre Béarn: La dernière nuit de Dunkerque, Pages 537-543 --- Alain: Les Aventures du Coeur, Pages 544-547 --- Jules Laforgue: Lettres à un ami (Fin), Pages 548-555 --- Alfred Fabre-Luce: Deux solitaires, Pages 556-567 --- Georges Magnane: La bête à concours (III), Pages 568-603 --- Henry de Montherlant: Paternité et Patrie, Pages 604-611 --- Ramon Fernandez: En relisant Marcel Aymé, Pages 612-616 --- Jean Bazaine: Guerres et évasions, Pages 617-623 --- Roland Purnal: Le rendez-vous de Senlis, de Jean Anouilh (L'Atelier), Pages 624-626 --- Roland Purnal: La Main passe, de Georges Feydeau (Mathurins), Pages 626-627 --- Georges Magnane: Schiller au Théâtre Français, Pages 627-629 --- Henri Thomas: Le Sang d'Atys, par François Mauriac (Grasset), Pages 630-631 --- A. Rolland de Renéville: Vie de Mallarmé, par Henri Mondor (Éditions de la N. R. F.), Pages 631-635 --- Fieschi: Post-scriptum aux Miettes philosophiques, par Soeren Kierkegaard (Éditions de la N. R. F.), Pages 635-639 --- Lucien Combelle: Baragne, par C.-F. Landry (Éditions Corrêa), Pages 639-640.

Couverture souple. Condición: Bon. IN-8 broché, 128 pages. Sommaire : Jean Giono: Provence (I), Pages 769-780 --- Pierre Leforestier: Les Affamés, Pages 781-796 --- Henri Thomas: Sans détour, Pages 797-799 --- Charles Autran: Des origines du christianisme, Pages 800-813 --- Alain: La Frivolité, Pages 814-816 --- Georges Magnane: La bête à concours (V), Pages 817-851 --- Jacques Chardonne: Voir la figure, Pages 852-854 --- Pierre Drieu la Rochelle: Le fait, Pages 855-859 --- Ramon Fernandez: Charles Péguy, Pages 860-869 --- Roland Purnal: De la farce au fabliau, voire quelque autre chose encore, Pages 870-881 --- Lucien Combelle: Vingt-six hommes, par Jean de Baroncelli (Grasset), Pages 882-883 --- Fernand Lemoine: Mort-né, par Julien Blanc (Albin Michel), Pages 883-884 --- Maurice Chapelan: Souvenirs imaginaires, par Robert Francis (Éditions de la N. R. F.), Pages 884-886 --- Alfred Fabre-Luce: Lettres à Marie, par Charles de Chambrun (Plon), Pages 886-887 --- Maurice Chapelan: Les Amantes, par Marcel Brion (Albin Michel), Pages 887-889 --- Emmanuel Boudot-Lamotte: Un film viennois, Pages 889-890.

Couverture souple. Condición: Très bon. IN-8 broché, 256 pages. Sommaire : Marcel Arland: Une littérature est presque toujours menacée. Faut-il s'en plaindre dès l'instant que., Pages 7-8 --- N. R. F.: La revue, devant les tentatives d'élucidation dont la littérature est devenue l'objet., Pages 9-9 --- Jean Grosjean: Ce qu'on ne sait pas ne nuit pas, Pages 13-14 --- J. M. G. Le Clézio: Le sismographe, Pages 15-21 --- Pierre Oster: Cloaca maxima, Pages 22-23 --- Jean Grenier: Je dois attendre, Pages 24-25 --- Brice Parain: Les nouveautés de notre temps, Pages 26-32 --- Michel Mohrt: Lettre à Jean Grosjean, Pages 33-34 --- André Dhôtel: Rhétorique fabuleuse, Pages 35-38 --- Jacques Réda: Langue maternelle, Pages 39-47 --- Serge Doubrovsky: La crise de la critique française, Pages 51-77 --- Yvon Belaval: Psychanalyse et critique littéraire en France, Pages 78-101 --- Anne Fabre-Luce: L'aventure de l'aristarque ou Le critique littéraire devant les sciences humaines, Pages 102-108 --- Manuel de Diéguez: L'avenir des structuralismes, Pages 109-117 --- Thomas Ferenczi: Structures linguistiques et fonction littéraire, Pages 118-128 --- Tzvetan Todorov: Comment lire?, Pages 129-143 --- Bernard Pingaud: L'écriture et la cure, Pages 144-163 --- Marthe Robert: Le Jeûneur et la Panthère, Pages 164-185 --- Roger Judrin: Entretien avec le docteur Freudet, Pages 189-201 --- Claude Ollier: Lecture - écriture - lecture, Pages 202-204 --- Robert André: Éloge du larcin, Pages 205-208 --- Alain Bosquet: La marquise n'ose plus sortir, Pages 209-211 --- Jean-Claude Renard: Une transformation permanente, Pages 212-217 --- Julien Green: La question posée., Pages 218-220 --- Jean Roudaut: Entre parenthèses, Pages 221-222 --- Jacques-Pierre Amette: La littérature avec un point d'interrogation, Pages 223-225 --- Alain Clerval: Le conformisme, la terreur, Pages 226-228 --- Guy Rohou: La foi du charbonnier, Pages 229-231 --- Georges Perros: L'idiot du village, Pages 232-249.

Couverture souple. Condición: Très bon. IN-8 broché, 128 pages. Sommaire : Pierre Gascar: Les fils du ciel, Pages 1-9 --- Heather Ross Miller: Tante Zina, Pages 10-22 --- Henri Meschonnic: Dédicaces proverbes, Pages 23-26 --- Manuel de Diéguez: Henry Corbin et Heidegger, Pages 27-39 --- Alain Bosquet: Notes pour un amour, Pages 40-46 --- Pierre Oster: Requêtes 1, Pages 47-54 --- Christian Liger: Suarès ou La clarté ambiguë, Pages 55-64 --- André Suarès: Carnets (Extraits), Pages 65-79 --- Alain Bosquet: Un mois de poèmes : Le mot fidèle (Louise Herlin, Robert Mallet, Guillevic, Jean Tortel, Richard Rognet, Jean-Jacques Morvan), Pages 80-84 --- Jacques-Pierre Amette: Philippe Jaccottet ou La poésie prospective, Pages 85-87 --- Jacques Ménard: Qu'est-ce qu'une chose?, par Martin Heidegger (Gallimard), Pages 88-89 --- Anne Fabre-Luce: L'enfant imaginaire, par Conrad Stein (Denoël), Pages 90-91 --- Anne Fabre-Luce: La construction de l'espace analytique, par Serge Viderman (Denoël), Pages 90-91 --- Jacques-Pierre Amette: Sade, Fourier, Loyola, par Roland Barthes (Éditions du Seuil), Pages 92-93 --- Jean Blot: Le meilleur témoignage (Jean Guéhenno, Gabriel Marcel, Marcel Raymond, Pierre-Henri Simon), Pages 94-100 --- Alain Bosquet: Henri Matisse, roman, par Aragon (Gallimard), Pages 100-103 --- Gilbert Chateau: Isabelle, trois caravelles et un charlatan, de Dario Fo (Théâtre de la Ville), Pages 104-105 --- Gilbert Chateau: Le Septième Commandement, de Dario Fo (Théâtre de l'Odéon), Pages 104-105 --- Gilbert Chateau: Pollufission 2 000, d'Éric Westphal (Petit Odéon), Pages 106-106 --- Gilbert Chateau: Deux femmes pour un fantôme - La baby-sitter, de René de Obaldia (Théâtre de l' uvre), Pages 106-106 --- Gilbert Chateau: Le Malade imaginaire - Les Femmes savantes - Les Précieuses ridicules, de Molière (Comédie-Française), Pages 106-107 --- Michel Mohrt: Le temps comme il passe, Pages 108-111 --- Renée Boullier: Dessins de Balthus (Galerie Claude Bernard), Pages 112-112 --- Jean Guichard-Meili: Dernières oeuvres, de Joseph Sima (Galerie Le Point cardinal), Pages 112-114 --- Jean-Jacques Lévêque: Pierre Bettencourt (Galerie Arditti), Pages 114-114 --- Jean-Jacques Lévêque: Robert et Sonia Delaunay (Galerie de Varenne et Galerie-libraire La Hune), Pages 114-115 --- Jean-Jacques Lévêque: Gabo (Musée d'Art moderne), Pages 115-116 --- Jean-Jacques Lévêque: Ghislain Urhy (Galerie Claude Aubry), Pages 116-116 --- François-Bernard Mâche: Nouvelles musicales, Pages 117-119 --- Anonymes: Revues, Pages 120-121 --- Georges Perros: Jean Vilar, Pages 122-123 --- Roger Judrin: Vénus, Pages 124-128.

Couverture souple. Condición: Bon. IN-8 broché, 128 pages. Sommaire : Louis de Broglie: Le Secret de la Lumière, Pages 513-527 --- Jacques Audiberti: L'Homme et la Maison, Pages 528-536 --- Pierre Béarn: La dernière nuit de Dunkerque, Pages 537-543 --- Alain: Les Aventures du Coeur, Pages 544-547 --- Jules Laforgue: Lettres à un ami (Fin), Pages 548-555 --- Alfred Fabre-Luce: Deux solitaires, Pages 556-567 --- Georges Magnane: La bête à concours (III), Pages 568-603 --- Henry de Montherlant: Paternité et Patrie, Pages 604-611 --- Ramon Fernandez: En relisant Marcel Aymé, Pages 612-616 --- Jean Bazaine: Guerres et évasions, Pages 617-623 --- Roland Purnal: Le rendez-vous de Senlis, de Jean Anouilh (L'Atelier), Pages 624-626 --- Roland Purnal: La Main passe, de Georges Feydeau (Mathurins), Pages 626-627 --- Georges Magnane: Schiller au Théâtre Français, Pages 627-629 --- Henri Thomas: Le Sang d'Atys, par François Mauriac (Grasset), Pages 630-631 --- A. Rolland de Renéville: Vie de Mallarmé, par Henri Mondor (Éditions de la N. R. F.), Pages 631-635 --- Fieschi: Post-scriptum aux Miettes philosophiques, par Soeren Kierkegaard (Éditions de la N. R. F.), Pages 635-639 --- Lucien Combelle: Baragne, par C.-F. Landry (Éditions Corrêa), Pages 639-640.

Couverture souple. Condición: Très bon. IN-8 broché, 160 pages. Sommaire : Cioran: Valéry face à ses idoles, Pages 801-819 --- Édith Boissonnas: Initiales, Pages 820-826 --- Roger Caillois: Inventaire d'un monde, Pages 827-840 --- Pierre Garnier: Poèmes, Pages 841-843 --- Marcel Arland: C'est l'aube., Pages 844-878 --- Henri Thomas: Perse, Pages 879-879 --- Perse: Deux Satires, Pages 880-886 --- Jacques Réda: Michel Butor : Illustrations, II, Pages 887-889 --- Georges Perros: Roger Judrin, Pages 890-893 --- Claude Michel Cluny: Jean-Claude Renard, Pages 894-897 --- Michel Gresset: William Styron, Pages 898-907 --- Jean Guichard-Meili: Vieira da Silva, Pages 908-912 --- Dominique Noguez: Anything Else, Pages 913-918 --- André Boucourechliev: Boris de Schloezer, Pages 919-921 --- André Miguel: L'Embrasure, par Jacques Dupin (Gallimard), Pages 922-922 --- Patrick de Rosbo: Italiques, par Georges Borgeaud (Éditions L'Âge d'homme), Pages 923-924 --- André Marissel: L'image métaphysique, par Jean-Pierre Attal (Gallimard), Pages 924-925 --- Jean Blot: La bataille de Pharsale, par Claude Simon (Éditions de Minuit), Pages 925-927 --- Jean Blot: La Dispersion, par Serge Doubrovsky (Mercure de France), Pages 927-928 --- Anne Fabre-Luce: Le Loum, par Louis Victor Pilhes (Le Seuil), Pages 928-929 --- Alain Clerval: Mon mal vient de plus loin, par Flannery O'Connor (Gallimard), Pages 930-931 --- Jean-Claude Schneider: Le colporteur, par Peter Handke (Gallimard), Pages 931-933 --- Philippe Pons: Le quotidien, par Carlo Villa (Gallimard), Pages 933-933 --- Renée Boullier: Soixante-cinq gravures de Filiberti à la Bibliothèque municipale de Mulhouse, Pages 934-935 --- Marcel Schneider: À propos du Palais Garnier, Pages 935-937 --- François-Bernard Mâche: Neuf journées de musique contemporaine au T.N.P. et l'O.R.T.F., Pages 937-939 --- Claude Michel Cluny: Porcile, de Pier Paolo Pasolini, Pages 939-940 --- André Miguel: Charles van Lerberghe, par Hubert Juin (Seghers), Pages 940-941 --- André Miguel: Solyane, un chef-d'oeuvre oublié, par Charles van Lerberghe (Seghers), Pages 940-941 --- Jean Grosjean: Ma femme ô mon tombeau, par Pierre Chappuis (Éditions Robert Moutier), Pages 941-941 --- Pierre Chappuis: Le point mort, par Paul Vincensini (Guy Chambelland), Pages 941-941 --- Jean Grosjean: L'anthropologie du geste, par Marcel Jousse (Resma), Pages 941-942 --- Jean Grosjean: L'orthographe, par Claire Blanche-Benveniste et André Chervel (Maspero), Pages 942-942 --- Guy Rohou: La vie de famille, par Henriette Jelinek (Gallimard), Pages 942-943 --- Guy Rohou: Le point de suspension, par Jean Anglade (Gallimard), Pages 943-943 --- Marcel Arland: Une fille cousue de fil blanc, par Claire Gallois (Buchet-Chastel), Pages 943-944 --- Jacques-Pierre Amette: La fête de la dédicace, par Michel Huriet (Gallimard), Pages 944-944 --- Jacques de Bourbon Busset: Hiérogamie, Pages 944-945 --- Jean Follain: Sainte-Hélène, Pages 945-946 --- Jean Lebrau: Brindilles, Pages 946-948 --- Anonymes: Mémento, Pages 949-949.

Soft Cover. Condición: new.

Condición: Bon. Merci, votre achat aide à financer des programmes de lutte contre l'illettrisme.

Rústica. Condición: Good. 20x28. 3pp. Dibujos. Rústica.

Hardcover. vii, 246p., editor's note, introduction, critical essays, chronology, contributors, bibliography, index, very good reprint edition in boards and unclipped dj. Modern Critical Views.

Paperback. Condición: OKAZ. Objectifs pédagogiques de la méthode : Un équilibre du sens et de l'apprentissage du code. Le souci d'entraîner les enfants à lire tous les types de textes (narratif, poétique, injonctif, informatif, argumentatif). Une sollicitation progressive à produire des écrits variés (5 projets d'écriture en GS, 10 en CP, 20 en CE1) Le manuel comprend :Cinq histoires écrites par des auteurs de littérature de jeunesse, une pour chaque période, de vacances à vacances : trois romans (aventures, sciences-fiction, policier), une pièce de théâtre, un conte moderne.Des activités de production de texte offrant un large éventail de situations de communication.Un bilan en fin de chacune des histoiresUne ouverture vers la bibliothèque vers la BCD. - Nombre de page(s) : 160 - Poids : 540g - Genre : Scolaire.

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143 pages Ehemaliges Bibliotheksexemplar mit Stempel innen und Bibliothekssignatur auf Einband in gutem Zustand. Moderate Lager- und Gebrauchsspuren, vereinzelte Anstreichungen und Marginalien möglich. --- Dieser Titel stammt aus dem Bestand einer Hochschule für künstlerische und industrielle Gestaltung. Die Sammlung umfasst zahlreiche Themenbereiche: Kunst aller Stile und Stilepochen (z.B. Gotik, Renaissance, Romantik, Impressionismus, Expressionismus und Postmoderne), Kunstgeschichte, Architektur, Design, Bildhauerei und Handwerkskunst, Philosophie, Theaterwissenschaften und Geschichte. Ein Stöbern in diesem tausende Titel umfassenden Bestand lohnt sich! Bei weiteren Fragen sprechen Sie uns gerne an. LKX K 22666-B Ohne Schutzumschlag! Sprache: Französisch Gewicht in Gramm: 636.