L ARME BLANCHE DE GUERRE FRANCAISE AU XVIIIe SIECLE 300 Exemplaires

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L ARME BLANCHE DE GUERRE FRANCAISE AU XVIIIe SIECLE par le Capitaine Maurice BOTTET EDITE POUR LEGUELTEL, NOBELE ET ROULLEAU, LIBRAIRES EXPERTS EN ARMES, 1976 FORMAT IN-4° 30 CM X 21 CM. RELIE, 86 PAGES. FOURBISSEURS. BIBLIOGRAPHIE. TABLES DES PLANCHES. ILLUSTRE DE 22 PLANCHES PLEINE PAGE HORS-TEXTE (222 FIGURES ET DESSINS D ARMES BLANCHES) 1. L Arme blanche au XVIIIe siècle. Les sources et l anecdote. 2. La fabrication en France au XVIIIe siècle. Klingenthal. 3. Le sabre ou forte épée du Cavalier ou du Dragon, d après les ordonnances, SURIREY de SAINT REMY, LA PORTERIE et les aide-mémoire. Le sabre des Carabiniers, de la Maréchaussée, de Royal-Allemand et des Chasseurs à cheval. 4. L épée et le sabre du Soldat et du Grenadier. Ordonnance de 1747 et 1767. L épée. Le sabre. Sabres d abordage. 5. Sabres extra-réglementaires; à la prussienne, à la hussarde, les petits Montmorency, les Montmorency dits révolutionnaires. Sabres communs à la Cavalerie et à l Infanterie; à coquilles, à garde tournante, à poignée batave. Sabres glaives; de Royal-Artillerie et d Artillerie de marine; de Soldat Charpentier; de la Garde Constitutionnelle du Roi LOUIS XVI. 6. L épée et le sabre de l officier. Infanterie: le sabre de l officier d Infanterie. Le sabre et l épée de l officier de la Cavalerie légère et des Dragons. Sabre des officiers des Régiments de Chasseurs. 7. Les Hussards d après les Ordonnances; la sabretache. 8. La Maison du Roi et la Gendarmerie de France. Troupes à cheval et Grenadiers. L épée wallone. Le sabre de la Maison du Roi et de la Gendarmerie après 1778. Les Mousquetaires et les Grenadiers à cheval. Cent-Suisses, Garde de la Porte et de la Prévoté de l Hotel. L Infanterie de la Maison du Roi. Officiers des Gardes Françaises et Suisses. 9. La ceinturonnerie au XVIIIe siècle. La plaque de ceinturon. 10. L Arme d hast au XVIIIe siècle: la pique, l esponton et la pertuisane. La fourche du Régiment Dauphin. Les baionnettes. 11. L Arme blanche défensive au XVIIIe siècle. Les cuirasses. La calotte de fer. 12. Les cordons de sabres et les dragonnes. « L arme blanche de guerre au XVIIIe siècle est relativement rare, tant la Révolution, par ses réquisitions et l utilisation qu elle en fit dans ses guerres incessantes, a détruit ou transformé l armement des régiments de la fin de l Ancienne Monarchie. De plus, elle est particulièrement difficile à définir, tant les règlements de l époque sont particulièrement peu explicite à son endroit; tout le cours du XVIIIe siècle, elle est considérée comme faisant bien plus partie de l équipement que de l armement, ce n a été que sous le ministère CHOISEUL, que les magasins royaux l ont fourni aux troupes, et bien longtemps encore, elle sembla plutot la propriété du soldat, du dragon ou du cavalier que du Gouvernement du Roi, si bien qu en 1789, GASSENDI, dans son premier aide-mémoire, omit meme d en parler. L arme blanche est offensive ou défensive: offensive quand il s agit d estoc ou de taille, épée ou sabre; offensive encore quand il s agit d hast, esponton, pique ou pertuisane, hallebarde ou baionnette armes blanches sur lesquelles la tactique du XVIIIe est basée, plus que sur l emploi du feu. L arme blanche est défensive quand il s agit d une protection passive: cuirasses, plastrons et calottes. ». Cne BOTTET. La référence absolue des amateurs et collectionneurs d armes blanches 1700-1800 Réimpression de l édition originale de 1910. TIRAGE LIMITE à 300 exemplaires. Pleine reliure d éditeur percaline grise. Titres noirs. BON ETAT, N° de ref. del artículo ABE-1656852818582

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