Pulphead: Chroniques - Tapa blanda

Críticas

PULPHEAD
 
 "John Jeremiah Sullivan capte les multiples visages d'une Amerique insolite, et en épingle avec un humour discret les tocades les tics de langage et les travers"
Les Inrockuptibles
 

"En quatorze chroniques détonantes, John Jeremiah Sullivan décline sa quête de l'identité américaine, fouillant dans les entrailles de sa culture pop, scientifique, underground ou littéraire pour répondre à des questions universelles: qui sommes-nous ? De quoi sommes-nous faits ?."
Ouest France

"Ce journaliste émérite parvient à brosser un portrait tendre et féroce d'un pays en perpétuelle transformation, mais dont le rayonnement ne faiblit pas."
Pèlerin

"Un formidable recueil de chroniques dans lequel l'auteur photographie l'Amérique profonde. Souvent drôle et plein de sensibilité."
Tristan Savin, Lire

"Une révélation, un trésor ! L’une des meilleures surprises de la rentrée."
Jérôme Dejean, Librairie Sauramps Montpellier pour Page des Libraires
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" (...) John Jeremiah Sullivan garde un style de critique rock et révèle une vraie qualité de portraitiste."
Thomas Stélandre, Libération

" L'art de mêler la chèvre et le chou avec style."
Emily Barnett, Grazia

" Hérault du nouveau journalisme le Sullivan ? Ecrivain d'élite, plutôt."
L'Alsace

"Pas vraiment décidé à lâcher les valises, le reporter sagace s'accorde une place dans le récit, celle de l'observateur amusé."
François Perrin, TGV Magazine

" Drôle et enlevé, ce recueil nous offre une galerie de portraits de l'Amérique touchants et sensibles"
Aujourd'hui en France / Le Parisien Magazine

" A en défriser les dreads du rasta Bunny ?"
Louis-Henri de la Rochefoucault, Technikart

Reseña del editor

Lire les chroniques de Pulphead, c’est grimper à bord d’un camping-car de neuf mètres de long pour rejoindre les ados d’un festival de rock chrétien. C’est dormir sous le même toit qu’un vieux fou, le dernier des Agrarians, chef de file des écrivains du sud des États-Unis. S’interroger sur l’art en sifflant des cocktails dans une boîte branchée aux côtés du Miz, star de la téléréalité. Croiser la solitude de Michael Jackson ou celle des sans-abris après Katrina. C’est se demander pourquoi Axl Rose, né au milieu de nulle part, est devenu Axl Rose, le chanteur des Guns N’Roses. Se frayer un chemin dans une manifestation pour protester contre la réforme du système de santé américain. C’est, dans la fumée jamaïquaine, à Kingston, distinguer les dreadlocks de Bunny Wailer, l’unique survivant du groupe de Bob Marley. S’enfoncer dans des grottes du Tennessee à la recherche des origines de l’homme. C’est aussi écouter en boucle un blues des années 30, pour essayer de retrouver, malgré le disque rayé, un mot inaudible perdu quelque part dans l’histoire.

En quatorze chroniques détonantes, John Jeremiah Sullivan décline sa quête de l’identité américaine, fouillant dans les entrailles de sa culture pop, scientifique, underground ou littéraire pour répondre à des questions universelles : Qui sommes-nous ? De quoi sommes-nous faits ?

Si sa plume l’élève au rang des hérauts du nouveau journalisme, John Jeremiah Sullivan a su trouver son propre regard, dans lequel l’intelligence, la curiosité et le charme le disputent à une bienveillance stupéfiante pour ses contemporains.