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Ce livre historique peut avoir de nombreuses fautes de frappe, le texte manquant, des images ou des index. Les acheteurs peuvent télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans fautes de frappe) de l'éditeur. Non illustré. 1837 Extrait: ... CHAPITRE H. ix fantt.--ta Mariage. Ne frappez pas une femme, eut-elle fait cent fautes; pas même avec une fleur 1. Une mère est plus que mille pères, car elle porte et nourrit l'enfant dans son sein; voilà pourquoi la mère est très-vénérable... Si la Terre est adorée, une mère n'est-elle pas plus digne encore de vénération2. Le mariage remplace pour la femme l'initiation. Son zèle à servir l'époux est pour elle ce qu'est pour l'homme l'étude et la discipline sous le brahmane; le soin qu'elle prend de la maison, équivaut à l'entretien du feu sacré 3. Selon l'Ecriture, la loi, les'sacrées ordonnances, selon l'usage populaire, la femme est la moitié du ' Digest of Hindu law, II, 209. Manou, il est vrai, est un peu plus sévère, p. 296, § 299. a Digest of Hindu hror, III, 504. 'Manou, p. 38, § 67. corps du mari, prenant part égale aux actes purs et impurs. Celui qui laisse sa femme vivante, se survit d'une moitié. 'Comment un autre prendrait-il la propriété, lorsqu'une moitié du propriétaire est encore en vie 1? Le bien est commun au couple marié 2. Comme les fils, ainsi les filles sortent de corps successifs; quel être humain pourrait hériter de préférence, lorsqu'il existe une fille3? Un père qui connaît la loi ne doit pas recevoir le moindre présent en mariant sa fille. Recevoir un tel présent par cupidité, c'est avoir vendu son enfant. Quelques habiles disent que le présent d'une vache-et d'un taureau n'est qu'une gratification. Non, tout présent reçu par le père, constitue une vente. Mê...
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