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Publicado por Northwestern University, Evanston and Chicago, 1941
Librería: Hackenberg Booksellers ABAA, El Cerrito, CA, Estados Unidos de America
ix, 218p., original brown cloth (Northwestern University studies in the humanities, 7).
Publicado por Northwestern Univ, Evanston, 1941
Librería: Frey Fine Books, Rougemont, NC, Estados Unidos de America
Original o primera edición
Cloth. Condición: Very Good. First edition, thus. brown cloth, 1st edition, thus, (1941), 8v0., 218 pages SIGNED by the Editor. Faint stains to binding, spine sunned, otherwise unmarked. Signed Presentation by Edwin Place. Text in French, notes in English.
Publicado por Bruxelles, Hayez, 1847
Librería: PRISCA, Paris, Francia
Original o primera edición
Couverture rigide. Condición: Très bon. Edition originale. In-4° relié, rellure signée Franz, XCV-200 pages et un feuillet d'errata - - - Gilles de Chin, de Berlaymont, de Chièvres, de Sars et de Wasmes, né à la fin du xie siècle et mort au Siège de Rollecourt en 1133, est un héros d'une légende du Hainaut, il fut compagnon d'armes du comte Baudouin IV de Hainaut Dans la Chronique de bon messire Gilles de Chin, on le dit fils de Gérard de Chin, mais Anne-Marie Liétard-Rouzé dans son livre Messire Gilles de Chin, natif de Tournesis le dit fils de Gonthier de Chin. Si Gilles est le fils de Gonthier de Chin, il serait aussi connu sous le nom de Gilles de Ribemont, sire de Chin. Information attestée par le Dictionnaire généalogique et historique du diocèse de Laon et confirmé par la Tour de Chin du château de Ribemont que Gilles de Chin et Gillon de Chin, les époux de d'Isabelle et Anne de Ribemont, tenaient en paierie au xiiie siècle du fait de leurs aïeuls respectifs. Ce fait est encore prouvé par la pierre sculptée et insérée dans la tour de Chin du château de Ribemont où l'on peut voir la même lithographie que celle retrouvée chez un faiseur d'écu au nom de Gilles de Chin sur laquelle on peut voir le combat de Gilles et du Lion tué pendant son séjour en Palestine. Il semblerait que l'expression de ce combat est plus passive que sur la pierre primitive qui a été remplacée. Si Gilles fut l'héritier d'Isaac de Berlaimont, c'est parce que ce dernier avait épousé la soeur de sa mère toutes deux, dame de Ribemont, et faisait donc de lui son oncle maternel. Gilles de Chin eut pour parrain Gilles de Trasegnies, descendant d'Isaac de Valenciennes, pour maître d'arme Gossuin d'Oisy lui-même descendant des cadets de Valenciennes et pour meilleur ami, Gérard du Chastel de la Howarderie, descendant des seigneurs de St Aubert, cadets des seigneurs de Cambrai, ayant donc tous les mêmes aïeuls. Au nom de leur amitié, Gérard du Chastel donnera le nom de Gérard de Saint Aubert à son fils, marié à Emmengarde d'Oisy, il leur naîtra Gilles de St Aubert que Gérard aura la joie de voir épouser la fille de son meilleur ami, la comtesse Mahaut de Chin, camériaire de Berlaimont, d'où descend toute la généalogie des seigneurs comtes et barons de Berlaimont, Berlaimont Floyon, Berlaimont la Ville et Berlaimont la Capelle. Également seigneur de Wasmes et de Chièvre du fait de son épouse Ydamison, il part à la première croisade, avec sa parenté dont le fameux Anselme de Ribemont, son grand-père, compagnon de Godefroy de Bouillon de 1095-1099, Jean de Gavre, Baudouin II de Hainaut, appelé aussi Baudouin de Jérusalem (1056-1098) et Gillion de Trazegnies et Gossuin d'Oisy. En 1098, Baudouin II de Hainaut et son grand-père meurent en Terre Sainte après la bataille d'Antioche (voir siège d'Antioche). Affectionné par Yolande du Hainaut, veuve de Baudouin III du Hainaut, remariée en seconde noce à Godefroy de Bouchain-Valenciennes son parent, elle en fit son conseiller préféré et le dota de nombreux avantages. - - - - - Le baron Frédéric Auguste Ferdinand Thomas de Reiffenberg, né à Mons (Hainaut), au numéro 12, rue du Rivage, le 14 novembre 1795 et mort à Saint-Josse-ten-Noode (Bruxelles) le 18 avril 1850, est un polygraphe et historien belge. Frédéric de Reiffenberg est professeur de philosophie à l'université d'État de Louvain puis professeur d'histoire à l'université de Liège. Accusé de plagiat, il manque d'être destitué, est écarté du jury des examens et quitte Liège2. En 1837, ses amis obtiennent qu'il soit nommé conservateur de la Bibliothèque royale de Belgique, nouvellement constituée. Il devient l'un des membres les plus actifs de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique.