RICCI, FRANCO MARIA (Más de 1.300 resultados)

Hardcover. Condición: Good. No Jacket. Pages can have notes/highlighting. Spine may show signs of wear. ~ ThriftBooks: Read More, Spend Less 1.15.

Magazine. Condición: Very Good. No Jacket. Some light rubbing and edgewear. Text is clean and tight in binding. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Magazine.

Stiff PAPER BOARDS. Condición: Fine. Estado de la sobrecubierta: None Issued. 1st Edition. unused fine condition book assumed ist edition no writing no tearing. no flaws .see picture A Century of Milanese History through the Illustrious Guests of its Most Famous Hotel.

Condición: Very good condition. 140 pages.

Paperback. Condición: Very Good - Cash. First Edition. Oversized 10-12' Tall. Glossy black covers; minor rubbing, corners tipped. Unmarked pages. Stock photos may not look exactly like the book.

Soft cover. Condición: Good. No Jacket. 1st Edition. No. 3. First Year. Articles included: The Treasure of Saint Mark's; Blake in Heaven and Hell; Hollywood on eyes; Lacework; Eastern light. Good tight condition with short tear top of front cover. Language: eng Language: eng 0.0.

Soft cover. Condición: Good. No Jacket. 1st Edition. No. 8. Articles included: Tarot triumphant, I, a painter; The altar of peace; The Healing Arts. Good tight condition with crease top corner of front cover. Language: eng Language: eng 0.0.

Soft cover. Condición: Very Good. No Jacket. No. 7. First Year. Articles Included: The nobelest breed; Miracle play; The City of God; La derniere mode. Stock/Paper covers. Very good tight condition with slight wear to cover edges. Language: eng Language: eng 0.0.

Paperback. Condición: Good+. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. Minor wear to wraps. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Soft cover. Condición: Near Fine. 1st Edition. PRINTEDSTARTING 1984. EACH ISSUE IS PRICED AT $7.50, SELECT WHICH ISSUE(S) YOU WANT TO ORDER AND THE PRICE WILL BE ADJUSTED ACCORDINGLY. NO EXTRA DOMESTIC SHIPPING COST FOR MORE THAN ONE ISSUE. INTERNATIONAL ORDERS MAY REQUIRE ADDITIONAL SHIPPING. Size: QUARTO.

Condición: 2. Revue trà s bon à tat .Contenu propre . 1988. PHOTOS SUR DEMANDE.

Trade Paperback. Condición: Very Good. BA5 - Book has some tiny dog-eared pages and very light shelf wear. A Century of Milanese History through the Illustrious Guests of its Most Famous Hotel. Size: 8vo - over 7¾" - 9¾" tall.

paperback. Condición: Good. Connecting readers with great books since 1972! Used books may not include companion materials, and may have some shelf wear or limited writing. We ship orders daily and Customer Service is our top priority!.

Paperback. Condición: As New.

paperback. Condición: Very Good. Connecting readers with great books since 1972! Used books may not include companion materials, and may have some shelf wear or limited writing. We ship orders daily and Customer Service is our top priority!.

Soft Cover. Condición: Very Good. Estado de la sobrecubierta: No Dust Jacket. Light soil along spine. Crease or surface tear across bottom of spine. Keywords: Feast of Lights, Hanukkah, Pompier Art, Academic Art, Baths of Berzieri, Carracci, Art. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall.

Soft Cover. Condición: Good. Estado de la sobrecubierta: No Dust Jacket. Soil and wear along the left edge of front cover and spine. Has slight defects bottom edge and left of back cover. Keywords: Heinrich Maria Davringhausen, Isadora Duncan, Saint-Simon, Versailles, Rubens, Jukebox, Art. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall.

Soft Cover. Condición: Very Good. Estado de la sobrecubierta: No Dust Jacket. Light wear around the edges of covers. Crease along top right corner of front cover. Keywords: Bomarzo, Orsini, Giovanna Garzoni, San Quirico, Siena, Art, Sculpture, Constantinople, Preziosi. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall.

Paperback. Condición: Very Good - Cash. First Edition. Oversized 10-12' Tall. Glossy black covers; minor rubbing. Unmarked pages. Stock photos may not look exactly like the book.

Paperback. Condición: As New.

Softcover. Condición: Very Good. 12 inches, 124 pages, color illustration throughout, annotated calendar of exhibitions, illustrated card cover, in original mailer. This "most beautiful magazine in the world" is printed on 75-pound matte coated paper, is full of stunning color reproductions, and encased in black cover stock. We include a copy of an article from The Wall Street Journal when the magazine was launched in the United States in 1984. Cover is lightly edge worn and rubbed. Brick and mortar bookshop since 1975!.

Paperback. Condición: Very Good. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. In glossy pictorial wraps. Illustrated profusely. Franco Maria Ricci's celebrated design journal. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Paperback. Condición: Very Good. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. In glossy pictorial wraps. Illustrated profusely. Franco Maria Ricci's celebrated design journal. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Paperback. Condición: Very Good. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. In glossy pictorial wraps. Illustrated profusely. Franco Maria Ricci's celebrated design journal. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Paperback. Condición: Very Good. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. In glossy pictorial wraps. Illustrated profusely. Franco Maria Ricci's celebrated design journal. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Paperback. Condición: Very Good. Color Illustrations Ilustrador. First Edition. In glossy pictorial wraps. Illustrated profusely. Franco Maria Ricci's celebrated design journal. Size: 4to - over 9¾" - 12" tall. Book.

Couverture souple. Condición: Comme neuf. Edition originale. In-4° , broché ,nombreuses illustrations en couleurs . In-4° , broché, nombreuses illustrations en couleurs . L'homme n'a pas changé, mais sa créature lui a échappé. A soixante-huit ans, l'éditeur bibliophile le plus vorace d'Italie, Franco Maria Ricci, né à Parme en 1937, arbore toujours son gardénia stylisé de plastique rouge à la boutonnière. Un cadeau de son ami le styliste milanais Ottavio Missoni. Bien connu des milieux de l'édition d'art depuis trente ans, ce dandy au regard espiègle a été promu commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres, en mars 2005, au palais Farnèse, à Rome. Une consécration pour ce fétichiste du papier et des belles reliures, doté d'un solide sens du marketing, qui a fondé sa revue éponyme « FMR » en 1982, après avoir entrepris sa carrière d'éditeur et d'artiste graphique à Parme au début des années 1960. Si curieux que cela puisse paraître, le couple reste encore indissociable dans l'esprit du public, même si l'aristocrate à l'oeil malicieux a dû se séparer de sa créature il y a déjà sept ans. « Je ne me reconnais plus complètement dans ce qu'ils ont fait de «FMR» depuis deux ans, même si cela reste une des plus belles revues d'art qui existe », soupire Franco Maria Ricci. Syndrome classique du fondateur qui se sent trahi par ses successeurs, à défaut d'héritiers naturels. « Ils », c'est la maison d'édition bolognaise ART'E, spécialisée dans la vente par courtage d'ouvrages d'art et cotée au Nuovo Mercato depuis six ans. Après avoir cédé, en 1999, sa célèbre revue bimestrielle à son ami Tonino Perna, l'industriel de la mode (Ittierre), Franco Maria Ricci ne pouvait prévoir qu'elle reviendrait trois ans plus tard à la société d'édition d'art de Marilena Ferrari. A priori, le nouveau propriétaire a tout fait pour maintenir l'héritage du créateur : le logo, la qualité des reproductions, l'exigence des textes et des collaborations. Mais il n'y a plus la touche personnelle du fondateur ni son prestigieux réseau de conseillers littéraires et scientifiques tels que Jorge Luis Borges, André Chastel, Umberto Eco, Octavio Paz ou l'historien d'art Federico Zeri. Certes, « FMR » reste « FMR », mais elle a pris un peu d'embonpoint et s'est légèrement embourgeoisée. « Tout en maintenant le niveau de qualité qui a fait son succès, il fallait rénover. L'approche reste fondamentalement littéraire. Ce n'est pas une revue d'histoire de l'art. Elle reste élitiste. Elle est destinée à un public cultivé, mais nous avons voulu rajeunir notre lectorat », explique le nouveau directeur scientifique, Flaminio Gualdoni, qui a pris les rênes de « FMR » après la rupture avec Franco Maria Ricci. Professeur d'histoire de l'art à l'académie de la Brera de Milan, il s'inscrit dans une certaine forme de continuité, même s'il entend bien imprimer sa marque à la nouvelle série, qui a démarré il y a deux ans. Le format est plus grand (une erreur, selon le fondateur), mais la publicité reste toujours limitée aux pages d'ouverture et à la fin, sans mélange des genres avec les textes et les illustrations qui forment le « coeur » de la revue. Mêmes qualité artisanale et soin dans le choix des reproductions. Certains collaborateurs sont restés, tels Gianni Guadalupi, le concepteur de la collection « Grand Tour » avec Franco Maria Ricci, ou le Français Patrick Mauriès, l'éditeur du Promeneur, aujourd'hui membre du comité scientifique, au côté du Belge Louis Godart, conseiller culturel au Quirinal.

Couverture souple. Condición: Comme neuf. Edition originale. In-4° , broché ,nombreuses illustrations en couleurs . In-4° , broché, nombreuses illustrations en couleurs . L'homme n'a pas changé, mais sa créature lui a échappé. A soixante-huit ans, l'éditeur bibliophile le plus vorace d'Italie, Franco Maria Ricci, né à Parme en 1937, arbore toujours son gardénia stylisé de plastique rouge à la boutonnière. Un cadeau de son ami le styliste milanais Ottavio Missoni. Bien connu des milieux de l'édition d'art depuis trente ans, ce dandy au regard espiègle a été promu commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres, en mars 2005, au palais Farnèse, à Rome. Une consécration pour ce fétichiste du papier et des belles reliures, doté d'un solide sens du marketing, qui a fondé sa revue éponyme « FMR » en 1982, après avoir entrepris sa carrière d'éditeur et d'artiste graphique à Parme au début des années 1960. Si curieux que cela puisse paraître, le couple reste encore indissociable dans l'esprit du public, même si l'aristocrate à l'oeil malicieux a dû se séparer de sa créature il y a déjà sept ans. « Je ne me reconnais plus complètement dans ce qu'ils ont fait de «FMR» depuis deux ans, même si cela reste une des plus belles revues d'art qui existe », soupire Franco Maria Ricci. Syndrome classique du fondateur qui se sent trahi par ses successeurs, à défaut d'héritiers naturels. « Ils », c'est la maison d'édition bolognaise ART'E, spécialisée dans la vente par courtage d'ouvrages d'art et cotée au Nuovo Mercato depuis six ans. Après avoir cédé, en 1999, sa célèbre revue bimestrielle à son ami Tonino Perna, l'industriel de la mode (Ittierre), Franco Maria Ricci ne pouvait prévoir qu'elle reviendrait trois ans plus tard à la société d'édition d'art de Marilena Ferrari. A priori, le nouveau propriétaire a tout fait pour maintenir l'héritage du créateur : le logo, la qualité des reproductions, l'exigence des textes et des collaborations. Mais il n'y a plus la touche personnelle du fondateur ni son prestigieux réseau de conseillers littéraires et scientifiques tels que Jorge Luis Borges, André Chastel, Umberto Eco, Octavio Paz ou l'historien d'art Federico Zeri. Certes, « FMR » reste « FMR », mais elle a pris un peu d'embonpoint et s'est légèrement embourgeoisée. « Tout en maintenant le niveau de qualité qui a fait son succès, il fallait rénover. L'approche reste fondamentalement littéraire. Ce n'est pas une revue d'histoire de l'art. Elle reste élitiste. Elle est destinée à un public cultivé, mais nous avons voulu rajeunir notre lectorat », explique le nouveau directeur scientifique, Flaminio Gualdoni, qui a pris les rênes de « FMR » après la rupture avec Franco Maria Ricci. Professeur d'histoire de l'art à l'académie de la Brera de Milan, il s'inscrit dans une certaine forme de continuité, même s'il entend bien imprimer sa marque à la nouvelle série, qui a démarré il y a deux ans. Le format est plus grand (une erreur, selon le fondateur), mais la publicité reste toujours limitée aux pages d'ouverture et à la fin, sans mélange des genres avec les textes et les illustrations qui forment le « coeur » de la revue. Mêmes qualité artisanale et soin dans le choix des reproductions. Certains collaborateurs sont restés, tels Gianni Guadalupi, le concepteur de la collection « Grand Tour » avec Franco Maria Ricci, ou le Français Patrick Mauriès, l'éditeur du Promeneur, aujourd'hui membre du comité scientifique, au côté du Belge Louis Godart, conseiller culturel au Quirinal.

Couverture souple. Condición: Comme neuf. Edition originale. In-4° , broché ,nombreuses illustrations en couleurs . In-4° , broché, nombreuses illustrations en couleurs . L'homme n'a pas changé, mais sa créature lui a échappé. A soixante-huit ans, l'éditeur bibliophile le plus vorace d'Italie, Franco Maria Ricci, né à Parme en 1937, arbore toujours son gardénia stylisé de plastique rouge à la boutonnière. Un cadeau de son ami le styliste milanais Ottavio Missoni. Bien connu des milieux de l'édition d'art depuis trente ans, ce dandy au regard espiègle a été promu commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres, en mars 2005, au palais Farnèse, à Rome. Une consécration pour ce fétichiste du papier et des belles reliures, doté d'un solide sens du marketing, qui a fondé sa revue éponyme « FMR » en 1982, après avoir entrepris sa carrière d'éditeur et d'artiste graphique à Parme au début des années 1960. Si curieux que cela puisse paraître, le couple reste encore indissociable dans l'esprit du public, même si l'aristocrate à l'oeil malicieux a dû se séparer de sa créature il y a déjà sept ans. « Je ne me reconnais plus complètement dans ce qu'ils ont fait de «FMR» depuis deux ans, même si cela reste une des plus belles revues d'art qui existe », soupire Franco Maria Ricci. Syndrome classique du fondateur qui se sent trahi par ses successeurs, à défaut d'héritiers naturels. « Ils », c'est la maison d'édition bolognaise ART'E, spécialisée dans la vente par courtage d'ouvrages d'art et cotée au Nuovo Mercato depuis six ans. Après avoir cédé, en 1999, sa célèbre revue bimestrielle à son ami Tonino Perna, l'industriel de la mode (Ittierre), Franco Maria Ricci ne pouvait prévoir qu'elle reviendrait trois ans plus tard à la société d'édition d'art de Marilena Ferrari. A priori, le nouveau propriétaire a tout fait pour maintenir l'héritage du créateur : le logo, la qualité des reproductions, l'exigence des textes et des collaborations. Mais il n'y a plus la touche personnelle du fondateur ni son prestigieux réseau de conseillers littéraires et scientifiques tels que Jorge Luis Borges, André Chastel, Umberto Eco, Octavio Paz ou l'historien d'art Federico Zeri. Certes, « FMR » reste « FMR », mais elle a pris un peu d'embonpoint et s'est légèrement embourgeoisée. « Tout en maintenant le niveau de qualité qui a fait son succès, il fallait rénover. L'approche reste fondamentalement littéraire. Ce n'est pas une revue d'histoire de l'art. Elle reste élitiste. Elle est destinée à un public cultivé, mais nous avons voulu rajeunir notre lectorat », explique le nouveau directeur scientifique, Flaminio Gualdoni, qui a pris les rênes de « FMR » après la rupture avec Franco Maria Ricci. Professeur d'histoire de l'art à l'académie de la Brera de Milan, il s'inscrit dans une certaine forme de continuité, même s'il entend bien imprimer sa marque à la nouvelle série, qui a démarré il y a deux ans. Le format est plus grand (une erreur, selon le fondateur), mais la publicité reste toujours limitée aux pages d'ouverture et à la fin, sans mélange des genres avec les textes et les illustrations qui forment le « coeur » de la revue. Mêmes qualité artisanale et soin dans le choix des reproductions. Certains collaborateurs sont restés, tels Gianni Guadalupi, le concepteur de la collection « Grand Tour » avec Franco Maria Ricci, ou le Français Patrick Mauriès, l'éditeur du Promeneur, aujourd'hui membre du comité scientifique, au côté du Belge Louis Godart, conseiller culturel au Quirinal.

Couverture souple. Condición: Comme neuf. Edition originale. In-4° , broché ,nombreuses illustrations en couleurs . In-4° , broché, nombreuses illustrations en couleurs . L'homme n'a pas changé, mais sa créature lui a échappé. A soixante-huit ans, l'éditeur bibliophile le plus vorace d'Italie, Franco Maria Ricci, né à Parme en 1937, arbore toujours son gardénia stylisé de plastique rouge à la boutonnière. Un cadeau de son ami le styliste milanais Ottavio Missoni. Bien connu des milieux de l'édition d'art depuis trente ans, ce dandy au regard espiègle a été promu commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres, en mars 2005, au palais Farnèse, à Rome. Une consécration pour ce fétichiste du papier et des belles reliures, doté d'un solide sens du marketing, qui a fondé sa revue éponyme « FMR » en 1982, après avoir entrepris sa carrière d'éditeur et d'artiste graphique à Parme au début des années 1960. Si curieux que cela puisse paraître, le couple reste encore indissociable dans l'esprit du public, même si l'aristocrate à l'oeil malicieux a dû se séparer de sa créature il y a déjà sept ans. « Je ne me reconnais plus complètement dans ce qu'ils ont fait de «FMR» depuis deux ans, même si cela reste une des plus belles revues d'art qui existe », soupire Franco Maria Ricci. Syndrome classique du fondateur qui se sent trahi par ses successeurs, à défaut d'héritiers naturels. « Ils », c'est la maison d'édition bolognaise ART'E, spécialisée dans la vente par courtage d'ouvrages d'art et cotée au Nuovo Mercato depuis six ans. Après avoir cédé, en 1999, sa célèbre revue bimestrielle à son ami Tonino Perna, l'industriel de la mode (Ittierre), Franco Maria Ricci ne pouvait prévoir qu'elle reviendrait trois ans plus tard à la société d'édition d'art de Marilena Ferrari. A priori, le nouveau propriétaire a tout fait pour maintenir l'héritage du créateur : le logo, la qualité des reproductions, l'exigence des textes et des collaborations. Mais il n'y a plus la touche personnelle du fondateur ni son prestigieux réseau de conseillers littéraires et scientifiques tels que Jorge Luis Borges, André Chastel, Umberto Eco, Octavio Paz ou l'historien d'art Federico Zeri. Certes, « FMR » reste « FMR », mais elle a pris un peu d'embonpoint et s'est légèrement embourgeoisée. « Tout en maintenant le niveau de qualité qui a fait son succès, il fallait rénover. L'approche reste fondamentalement littéraire. Ce n'est pas une revue d'histoire de l'art. Elle reste élitiste. Elle est destinée à un public cultivé, mais nous avons voulu rajeunir notre lectorat », explique le nouveau directeur scientifique, Flaminio Gualdoni, qui a pris les rênes de « FMR » après la rupture avec Franco Maria Ricci. Professeur d'histoire de l'art à l'académie de la Brera de Milan, il s'inscrit dans une certaine forme de continuité, même s'il entend bien imprimer sa marque à la nouvelle série, qui a démarré il y a deux ans. Le format est plus grand (une erreur, selon le fondateur), mais la publicité reste toujours limitée aux pages d'ouverture et à la fin, sans mélange des genres avec les textes et les illustrations qui forment le « coeur » de la revue. Mêmes qualité artisanale et soin dans le choix des reproductions. Certains collaborateurs sont restés, tels Gianni Guadalupi, le concepteur de la collection « Grand Tour » avec Franco Maria Ricci, ou le Français Patrick Mauriès, l'éditeur du Promeneur, aujourd'hui membre du comité scientifique, au côté du Belge Louis Godart, conseiller culturel au Quirinal.