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Publicado por Chaix-Desfossés-Néogravure, Imp. E. Desfossés
Affiche. Affiche (34 x 55 cm.), comprenant une illustration en noir et blanc et un texte d'incitation au don de bourrage à matelas et de vaisselle, campagne de l'entr'aide d'hiver au secours national, sans date ; pliures, annotations au crayon papier au verso, tâches sur le côté droit (non gênant), par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Couverture souple. Condición: bon. RO80156415: 1934. In-8. Broché. Très bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Lettre-brochure de 8 pages. . . . Classification Dewey : 380-Commerce, communications, transports.
Librería: Antiquariaat Wim de Goeij, Kalmthout, ANTW, Belgica
Miembro de asociación: ILAB
2. Paris, Drouot, 4 vols, In-4° , 27 x 21 cm, 4 vols, 1746 lots, with 12 + 8 b/w h.t. plates mostly of bindings, sewn, orig. wrappers.
Dans la première lettre adressée à une dame, Gabriel Cognacq répond avec esprit à une invitation. Monsieur Cognacq est très heureux de passer rue de Presbourg une soirée charmante le 19 novembre, et Madame Cognacq est très malheureuse d'être une très très vieille dame que son âge et ses douleurs obligent à fuir les plaisirs mondains.Dans la deuxième lettre, G. Cognacq demande à la Présidente son .quitus pour Strasbourg. Chargé .de réunir les éléments de réponse au questionnaire dressé par le Rapporteur Général. il estime en effet qu'il s'est montré très médiocre dans cette fonction et affirme .Tant pis pour Monsieur Gaston Roux qui a manqué totalement de psychologie en ignorant qu'un commerçant français n'aime pas qu'on soulève les lourdes draperies derrière lesquelles il cache avec un soin farouche ses chiffres d'affaires et sa pensée.Dans la troisième lettre, il indique .je me rendrai avec empressement à votre convocation.Gabriel Cognacq-Jay était le neveu d'Ernest Cognacq-Jay (1839-1929). A la mort de ce dernier, il lui succéda à la Présidence du Comité de Direction de la fondation Cognacq-Jay. Il mourut en 1951 et laissa tous ses biens à la fondation.Après avoir ouvert un magasin de nouveautés en 1867 rue de Turbigo, Ernest Cognac-Jay loua une partie d'un bâtiment situé à l'angle de la rue du Pont-Neuf et de la rue de la Monnaie et lui donna pour nom La Samaritaine. Accompagné de sa femme Marie-Louise Jay, Ernest Cognacq fit prospérer son magasin qui, moins d'un demi-siècle plus tard, employait 7000 personnes. Parallèlement à cette réalisation, les époux COGNACQ-JAY constituèrent tout un ensemble d'oeuvres de prévoyance sociale. Collectionneurs avertis, ils possédaient des collections d'une valeur considérable qu'ils léguèrent à la ville de Paris, à charge pour elle de les rassembler dans un musée (Musée Cognacq-Jay, boulevard des Capucines, Paris).