Críticas:
Cet ouvrage splendide est le fruit d'un immense travail d'érudition. [...] Le travail d'iconographie a cédé le pas à une véritable traque des chefs-d'oeuvre en Italie. Ce livre permet de découvrir des peintures rarement ou richement exposées. --Raymond Couraud, L'Alsace
C'est tout l'art du Trecento et du Quattrocento qui nous apparaît soudain dans la transparence de sa source d'inspiration. [...] Rarement un livre d'art aura mieux rempli sa mission: faire rêver en éclairant. Et même un peu plus. --Jean-Baptiste Michel, Le Monde de la Bible
Diane de Selliers offre aujourd'hui le culte de sa passion. « Sa » Légende dorée entre dans le nouveau millénaire de l'Occident somptueusement vêtue de la grâce du beau, de la sagesse et du merveilleux. --Univers des Arts
Reseña del editor:
Dès sa parution vers 1260, le retentissement de La Légende dorée fut considérable. La Legenda Sanctorum « ce qui doit être lu des saints » devient rapidement la Legenda Aurea parce que, dit-on, son contenu est d’or... Cette extraordinaire vie de saints écrite par Jacques de Voragine, futur archevêque de Gênes, est, avec la Bible, le livre le plus lu, copié, enluminé, traduit dans toutes les langues. La Légende dorée est, dès le début de la Renaissance italienne, l’ouvrage de référence incontesté de tous les peintres : les plus grands artistes s’en sont directement inspirés : Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca ..., mais aussi des artistes moins connus, mais non moins inspirés. La Légende dorée est pour eux une source d’inspiration inépuisable, et ils enrichissent ainsi les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques, déployant tout leur génie dans
l’illustration des scènes de la vie des saints telles que Jacques de Voragine les a décrites. Leurs œuvres sont éblouissantes d’humanité, de grâce, de force, d’émotion et de compassion. Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent-vingt peintres du Trecento et du Quattrocento italiens sont reproduites, dont un grand nombre n’avait jamais été vu : fresques cachées au fond de couvents, retables découverts dans de petites églises, prédelles éparpillées dans divers musées, enfin rassemblées.
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