MEDITATIONS - janvier à août 2016: MÉDITATION MATINALE EN LA CHAPELLE DE LA MAISON SAINTE-MARTHE : fioretti, homélie, spirituel, pastorale, évangile, François d'Assise, méditer, enseignement - Tapa blanda
Reseña del editor:
PAPE FRANCOIS : Ce sont toutes ses méditations des six premiers mois de l'année 2016, avec en plus 3 méditations de septembre.
Ces méditations sont transcrites en français à partir de l'expression orale du pape François.
En tout dans ce livre sont groupée 58 méditations du Pape François aux titres accrocheurs...
1. Tuer au nom de Dieu est satanique
2. Question de style
3. Petits artisans de la paix
4. Devant le miroir
5. L’atmosphère et l’espace
6. La dernière marche
7. Silence sonore
8. La sainteté de la négociation
9. La batterie du chrétien
10. Le navigateur et les quatre malheurs
11. Femmes courageuses
12. Esprit en cage
13. Jour après jour
14. Hymne à la joie
15. Dieu n’est pas une équation
16. Les sangsues d’aujourd’hui
17. Cette envie d’arriver
18. Philippe Néri et la poule
19. Jeunesse brûlée
20. Un parfait inconnu
21. ...
...
...
58
Quelques extraits :
« « l’harmonie que seul l’Esprit Saint peut créer, ne doit pas être confondue avec la tranquillité ». En effet, « une communauté peut être très tranquille, bien aller », mais ne pas être en harmonie. » (page 58).
« « Prophétie, mémoire et espérance » : ce sont les trois caractéristiques qui rendent libres la personne, le peuple, l’Église, en empêchant de finir dans un « système fermé » de normes qui met l’Esprit Saint en cage. [...] Et leur pensée était très « fermée, sûre », avec l’idée que « ceux qui font cela se sauveront ; les autres ne nous intéressent pas, la mémoire ne nous intéresse pas ». En ce qui concerne « la prophétie : il vaut mieux que les prophètes ne viennent pas » » (page 19 et 20).
« La méditation sur le juste rapport que le chrétien doit avoir avec l’argent, avec la richesse, a conduit le Pape François à dénoncer les « esclavages d’aujourd’hui » et ceux qui, profitant du manque de travail, « exploitent les personnes » et les contraignent à accepter des contrats injustes, au noir. Des trafiquants qui « grossissent en richesse » et vivent comme « de véritables sangsues », « du sang des gens. » (page 26).
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